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N. B. : Dans l'aide de Netscape vous avez un glossaire. | Liens externes en bas de page.
« D'un point de vue formel, le signe provient de la contraction graphique du a et du d, formant la préposition latine ad qui indique le mouvement et la direction comme dans l'expression “ad urbem venire” signifiant “venir à la ville”. Il a la même signification que la préposition anglaise at.
Étymologiquement, le mot arrobe vient de l'espagnol arroba qui désigne une ancienne unité de mesure de poids (utilisée également au Portugal) (…) En ce sens , le mot trouve sa racine dans l'arabe ar-roub, signifiant “le quart”.
Dans l'ouvrage de référence intitulé Ancient Writing and Its Influences (New York, 1932), Berthold Louis Ullman fait remonter l'origine de l'arobase au VIe siècle. Durant le Moyen Âge, le signe est employé dans les documents religieux, diplomatiques et commerciaux, pour indiquer le destinataire.
D'aucuns proposent que l'origine de son nom réside dans la décomposition du mot arobas en a-rond-bas. Le mot “bas” est ici employé dans le sens de bas de casse, la casse correspondant au tiroir compartimenté dans lequel l'imprimeur range les caractères les plus utilisés, autrement dit les minuscules.
Le signe @, connu également sous l'appellation de “a commercial”, réapparaît sur les claviers dans les années 20, pour être ensuite adopté par le réseau Telnet dans les années 70.
En 1972, l'informaticien Ray Tomlinson l'utilise comme séparateur de mots dans les adresses e-mail. »
in Lettres Latines, Rencontre avec les formes remarquables, Laurent Pfulghaupt, coll. Ecritures, Editions Alternatives, Paris, 2003, p. 54.
Dans les protocoles de courrier électronique, le @ sépare le nom du destinataire du nom de domaine (qui est associé à un serveur) ; ex. mozinet[AD]gmail[POINT]com.
Un des champs (zones de saisie) A des emails réservé à l'adresse du/des destinataire(s) ; chaque destinataire verra l'adresse des autres destinataires figurant dans les zones A et Cc ; cf. Cci.
Abréviation formée de la première ou des premières lettres des termes d'une expression complexe et constituant elle-même un mot nouveau avec tous ses attributs comme la prononciation.
Technologie qui permet une connexion digitale one to one, sur paire de fils de cuivre, à haut débit (jusqu'à 8 Mbits en réception et 640 Kbits en émission). La distance maximale entre l'abonné et le central local ne doit pas dépasser 5 km. Cette technologie présente l'avantage de laisser la ligne téléphonique disponible pendant que l'abonné utilise Internet. cf. DSL
Syndicat professionnel. cf. FAI.
Service de messagerie instantanée fournit par la société AOL. Le logiciel AIM est distribué gratuitement et le service est accessible gratuitement depuis n'importe quel FAI. cf. ICQ.
Filiale, de fourniture internationale d'accès Internet (FAI) et de service et d'édition de contenu en ligne, du groupe américain AOL-Time Warner. cf. AIM et ICQ
Principal code informatique pour les données alphanumériques. Il permet la représentation des lettres minuscules et majuscules, des chiffres de 0 à 9, des caractères spéciaux et de commande.
voir weblog
Défaillance qui advient lorsqu'un programme s'emballe et demande plus de mémoire que la quantité qui lui était attribué à l'origine. Il accède, alors, à des zones mémoires qui ne lui sont pas destinées et permet d'effacer ou de corrompre des données, ainsi que d'exécuter un code malicieux.
Un des champs (zones de saisie) des emails réservé à l'adresse du ou des destinataires d'une copie du message ; chaque destinataire de Cc verra l'adresse des autres destinataires figurant dans les zones A et Cc ; cf. Cci.
Un des champs (zones de saisie) des emails réservé à l'adresse du/des destinataire(s) d'une copie caché du message ; chaque destinataire de Cci ne verra pas l'adresse des autres destinataires figurant dans la zone Cci mais verra pas l'adresse des autres destinataires figurant dans les zones A et Cc.
Feuilles de style en cascade utilisées par contrôler l'apparence d'éléments extérieurs notamment en HTML.
Ligne de code stocké sur l'ordinateur d'un visiteur d'un site Web et récupérable plus tard par le serveur qui émis le cookie. Les cookies servent à contrôler les fréquences de visite d'un site ou à retenir les identifiants de l'internaute à un service, la langue employée…
Logiciel, développé par la société CVS, de gestion de projets de développement open-source autorisant des développeurs travaillant simultanément sur le même code de le mettre à jour via Internet, sans que les modifications des uns ne suppriment celles des autres.
Refus de service de la part d'un serveur Internet dans certaines
conditions. Attaque d'un serveur par saturation visant à
provoquer un déni de service généralisé.
Pour éviter l'ambiguïté, il est recommandé
d'utiliser plutôt dans ce sens l'expression « attaque
par saturation ».
Version avancée et non standardisée du langage HTML, incluant des éléments interactifs réalisés à l'aide de langages de scripts tels que Javascript.
Format de compression pour la vidéo.
Loi fédérale américaine votée en 1998 régissant les droits d'auteurs numériques.
Procédé d'adressage des machines sur Internet. A chaque machine correspond une adresse IP en chiffres à laquelle correspond un nom de domaine rédigé en alphanumérique (http://mozinet.free.fr).
ADSL Asymmetric DSL ; FDSL Fiber DSL ; IDSL ISDN DSL ; SDSL Symmetric DSL ; VDSL Very High Speed DSL xDSL : toutes les technologies DSL
Message transmis par un utilisateur vers un ou plusieurs destinataires, d'ordinateur à ordinateur, par l'intermédiaire d'un réseau informatique, favorisant entre eux un échange rapide et sans frontières. L'envoi d'e-mail est la plus simple, la plus évidente et la plus pratiquée des applications que permet Internet.
Association d'industriels qui a pour but la standardisation des systèmes d'information et de communication ; voir ecma.ch Il a publié un JavaScript normalisé, le ECMAScript.
Recueil sous forme de questions/réponses des connaissances de base sur un sujet.
Parfois traduit par l'horrible expression « foire aux questions ».
Dans MS Internet Explorer, raccourci permettant d'accéder à une adresse Internet (URL) ; cf. signet.
Format propriétaire (.swf) d'animations vectorielles très populaire sur le Web développé par la société Macromedia, rachetée par Adobe. Les animations Flash sont lues par un plug-in pour navigateur distribué gratuitement, le Adobe Flash Player (lecteur Flash). Il permet d'afficher des applications Web, des interfaces très sophistiquées, des messages publicitaires interactifs, ainsi que des animations. cf. SVG.
Protocole de transfert standard de fichiers sur Internet. L'internaute visite un répertoire situé sur un serveur et, selon les droits dont il dispose, il peut y déposer ou y prendre des fichiers.
Interface graphique sous Linux, logiciel libre. cf. KDE
C'est le nom donné par la société Netscape à son moteur de navigation de inclus dans son navigateur Netscape Communicator, c'est-à-dire l'interpréteur des balises HTML.
Baptisé dans un premier temps Raptor, puis NG Layout, c'est sous ce nom que Netscape a libéré le code source de son moteur fin 1998. La communauté de développeurs Mozilla améliore ce moteur d'affichage et de nombreuses applications intègrent Gecko sous licence open source.
Standard de communication numérique par téléphones mobiles (portables). Les fréquences utilisées sont 900 MHz et 1800 Mhz. GSM Association.
Accueil sur un serveur d'un site Web pour le rendre accessible par Internet.
Langage de description des pages Web dérivé du SGML. Il est composé d'une suite de signes ASCII, dans laquelle sont inclues des codes de formatage (balises) des différents éléments composant une page Web.
Principal protocole de communication entre les serveurs Web et les navigateurs (clients).
Voir ICANN.
Association professionnelle à but non lucratif fondée en 1998 aux Etats-Unis pour assumer la responsabilité de l'allocation des adresses IP, la définition des protocoles Internet, la gestion des noms de domaines et la gestion des serveurs racines. Ces fonctions était précédemment confiées sous contrat du gouvernement américain à l'IANA (International Assigned Numbers Authority) et d'autres organismes. Icann.org.
Logiciel de messagerie instantanée développé par Mirabilis d'origine israélienne racheté par AOL. permettant aux internautes qui l'utilisent de savoir lesquels de leurs correspondants sont disponibles immédiatement pour une conversation en ligne. Un des précurseurs parmi les logiciels de messagerie instantanée et le plus populaire en Europe, ICQ permet à ses dizaines de millions d'utilisateurs d'échanger des messages écrits délivrés dans la seconde et de se transmettre des fichiers.
Dans une page Web, c'est une série de liens hypertextes attachés à une image. Ils sont définis dans la page ou à travers un fichier externe.
Protocole de gestion de messagerie électronique qui permet de manipuler les emails stockés sur le serveur. cf. POP et SMTP.
Langage de programmation développé par la firme Sun Microsystem permettant de créer des programmes exécutables sur des systèmes d'exploitation différents. Des applets écrits en Java sont intégrés aux pages Web et, dans les différents navigateurs, seront interprétés par une machine virtuelle Java (JVM).
Langage de script (non compilé) créé pour le Web par la société Netscape Communications (initialement LiveScript) pour tourner sur toutes les plate-formes. Inclus dans une page Web, il est interprété par le navigateur.
Microsoft a développé un langage concurrent baptisé JScript. Netscape a libéré le JavaScript et une version normalisée a été produite : le ECMAScript. cf ECMA.
Interface graphique sous Linux, logiciel libre. cf. Gnome.
Il s'agit de la bibliothèque HTML 4 de KDE, se pliant aux spécifications du WWWC et supportant DOM, Java, JavaScript et les feuilles de style en cascade (CSS).
L'implémentation de JavaScript dans KDE.
Un lien (hypertexte) est une connexion entre une ressource présente sur le Web et une autre. Un lien a deux extrémités appelées ancres et une direction.
Service de messagerie en temps réel, offrant la possibilité aux utilisateurs de consulter la liste des correspondants avec lesquels ils sont simultanément en ligne, pour communiquer immédiatement avec eux. Généralement, les messages apparaissent spontanément à l'écran dans une fenêtre, sans que l'utilisateur ait à intervenir. La messagerie instantanée offre à ses utilisateurs la possibilité d'utiliser les fonctionnalités du courrier électronique (transfert de fichiers et d'adresses Web) et d'effectuer des sessions de chat.
Nom créé par Jamie Zawinsky de la société Netscape Communications, en 1993, pour désigner le corps du code source du Navigator en développement. Ce nom devint celui du code officiel de Navigator. Mozilla devint ensuite la mascotte de la société sous les traits d'un gros lézard vert. Lors de la libération du code source de la suite Communicator en 1998, Mozilla devint le nom du projet de développement open source et de l'organisation qui lui sert de support : The Mozilla Organization. En juillet 2003, la société AOL-Timer Warner, propriétaire de Netscape depuis 1999, abandonne la direction du projet Mozilla à une organisation sans but lucratif : Mozilla Foundation. Mozilla est aussi le nom de la suite logicielle, comprenant un navigateur Web, utilisant le moteur d'affichage Gecko développé par l'organisation Mozilla. La suite Mozilla a été abandonnée en 2005 par la fondation Mozilla.
Fabricant de composants informatiques ou télécom de base.
Recommandation du W3C proposant un label standardisé pour établir la transparence en matière de données personnelles pour les sites Web qui l'adoptent (actuellement moins d'un sur cinq).
Fragment de code ajouté à un logiciel pour remédier à un bogue ou à un dysfonctionnement, généralement comme une correction provisoire entre deux évolutions.
Est employé aussi pour désigner un additif destiné à traduire l'interface d'un logiciel.
Micro-ordinateur
Ordinateur de poche sans clavier utilisé comme agenda et assistant personnel.
Logiciel libre et langage de script orienté objet interprété côté serveur permettant la création de pages Web dynamiques. voir php.net
Temps en millisecondes que met une information à faire l'aller-retour entre un ordinateur et un serveur.
Protocole permettant le retrait du courrier électronique sur le serveur POP de messagerie. La version POP3 est actuellement utilisée et est incompatible avec les deux précédentes. cf. IMAP et SMTP.
Une fenêtre pop up désigne une petite fenêtre qui s'ouvre sur une page existante, en même temps qu'une autre page ou lors de sa fermeture. Sur le Web, cette technique est fréquemment utilisée pour afficher automatiquement de la publicité sur une page demandée par l'internaute.
Un menu pop up s'ouvre sur une page hors la présence d'un bouton de commande et est généralement appelé par un clic du bouton droit de la souris. Il peut être différent selon l'élément sélectionné sur la page (texte, image, etc.) ; appelé aussi menu contextuel.
Dans le domaine de la navigation sur le Web, cette fonction des navigateurs ou des accélérateurs de navigation utilise les temps d'inactivité pour télécharger les documents que l'usager est susceptible d'aller visiter dans un futur proche.
Le prefetching est inclus dans l'utilitaire Naviscope ou dans Opera et la version en développement de Mozilla.
Passerelle logicielle qui isole un réseau local en adressant en son nom les requêtes lancées par les postes du réseau. Le serveur proxy est aussi chargé de conserver en local, temporairement, les documents Internet les plus utilisés.
Tous les programmes de navigation qui suivent les liens hypertextes des pages de Web mais qui ne sont pas directement sous contrôle humain. Les exemples sont les araignées (spider) des moteurs de recherche, les programmes qui extraient les adresses e-mail à partir des pages Web ou des newsgroups ainsi que différents programmes de recherche intelligents.
Décrit un document en séparant sa structure logique de sa forme. Idéal pour les recherches et présentations rationnelles, mais très peu convivial, complexe et très lourd à mettre en place, il nécessite plusieurs catégories de logiciels pour fonctionner. Les coûts de développement n'en sont que plus élevés.
Elaboré en 1980 par l'American National Standards Institute (ANSI), il est issu du GML (Generalized mark-up language) dont la conception a été initiée par IBM dès la fin des années 1960. De lui dérivent HTML et XML.
Dans Netscape, c'est un élément d'une liste déroulante sur lequel clique l'utilisateur pour afficher la page dont l'adresse Internet (URL) est associé à un nom. cf. Favori.
Les signets sont recueillis dans un fichier au format .html nommé bookmarks.
Ensemble des pages Web cohérent édité par une même personne ou une même organisation. Site Web, site Internet.
Service de téléphone mobile permettant d'envoyer ou de recevoir des messages plein texte affichés à l'écran. Technologie standardisée par l'ETSI (Institut européen des normes de télécommunication).
Protocole standard gérant le transfert d'emails. cf. IMAP et POP.
Protocole visant à standardiser la communication entre services Web.
Courrier électronique non sollicité envoyé en grand nombre ; généralement des emails publicitaires.
Courrier électronique non sollicité envoyé en grand nombre ; généralement des emails publicitaires
« l'envoi massif, et parfois répété, de courrier électroniques non sollicités, à des personnes avec lesquelles l'expéditeur n'a jamais eu de contact et dont il a capté l'adresse électronique de façon irrégulière » CNIL.
Diffusion en direct de vidéo ou de musique en ligne.
Standard de compression graphique du W3C. SVG est un langage XML de description d'images en deux dimensions, vectorielles ou mélangeant les vecteurs et les bitmaps. La version 1.1 apporte une modularisation du langage, les modules de base pouvant être conjugués selon les besoins. Il constitue l'alternative open source au à la technologie Flash propriétaire. W3C.org.
Appellation du W3C pour URL. W3C en anglais.
Adresse normalisée des ressources sur Internet. Le W3C préconise l'utilisation de l'appellation URI. W3C en anglais.
Standards permettant l'accès aux services Internet par les téléphones mobiles (GSM) et autres technologies sans fil. voir WAP Forum.
Carnets, journaux personnels en ligne qui permettent à un internaute de publier au jour le jour ses pérégrinations sur le Net ou de commenter l'actualité d'un sujet qui l'intéresse.
Ne pas confondre avec weblog (“web-log”) fichier-journal retraçant les connexions d'un serveur.
Le lecteur multimédia de Microsoft.
Principal organisme de standardisation en matière de langages ou de protocoles utilisés sur Internet. Fondé en 1994, il regroupe 450 entreprises membres. Il émet des recommandations qui ne sont mêmes pas obligatoires pour ses membres.
Langage de recherche dans une arborescence XML. Il reconnaît la structure du document, et décrit ses propres critères de recherche.
Langage de description des feuilles de style XML : police, couleur, taille et apparence y sont définies. La puissance d'une description XSL est telle que le document sera compris par toutes les applications.